Notre premier rendez-vous clandestin

Nous nous sommes donnés rendez-vous dans ma chambre d’hôtel que j’occupais durant mon séjour professionnel. Il avait envie de tout expérimenter. J’avais emmené avec moi des jouets sexuels que l’on a testé ensemble. D’abord j’ai commencé par l’embrasser avec la langue et son sexe s’est tout de suite raidi. Il a voulu me sucer, j’ai laissé faire et lui ai fait à mon tour. Il m’a dit que c’était mieux qu’avec sa compagne, que je lui avait appris des choses incroyables.

Coucher avec un hétéro était pour moi quelque chose de complètement nouveau. Je pensais que les hétéros étaient plus réservés sur les pratiques sexuelles mais pas du tout. J’ai pris un plaisir immense à être passif et actif avec lui. Il m’a donné de toutes nouvelles sensations que je n’avais jamais connu auparavant avec mes partenaires gays. Pour lui aussi, ça a été un déferlement de plaisir et de désir intense. Nous ne savions pas que les relations sexuelles entre un gay et un hétéro pouvaient être aussi déchaînées et procurer un tel plaisir.

Quelques minutes après notre rendez-vous, il m’a envoyé un message pour me dire à quel point le sexe était fantastique et qu’il voulait me revoir. Cependant, il vit avec sa compagne avec laquelle il est depuis quinze ans et leur enfant de douze ans.

J’étais aussi dans une relation de quatre ans, donc j’étais aussi infidèle. Mais cela nous était égal car nous aimions baiser ensemble et essayer de nouvelles choses.

Une aventure cachée

Nous nous réunissions plusieurs fois par semaine. Son engagement envers moi m’a semblé très fort et au fil des semaines, notre amour l’un envers l’autre a grandi. Il n’aimait pas penser que je couchais avec mon partenaire. Il n’aimait pas non plus que je regarde un autre mec dans la rue. Il était devenu possessif. La relation s’est épanouie et finalement, nous avons passé des week-ends entiers ensemble, lui disant à sa famille qu’il travaillait à l’extérieur.

Il tenait beaucoup à ce que nous quittions nos partenaires respectifs pour que nous puissions emménager ensemble et commencer une nouvelle vie de couple.

Ce nouvel homme dans ma vie m’a rendu incroyablement heureux. J’ai donc mis fin à ma relation de quatre ans et quelques jours plus tard, il a dit à son partenaire qu’il voulait rompre, mais qu’il resterait dans la maison familiale pour le bien de leur fils adolescent. Nous continuons toujours à nous voir malgré tout et à nous donner du plaisir mutuellement.

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Le latex est une matière populaire très souvent associée à l’érotisme et aux vêtements fétichistes. Il est une alternative élégante et sensuelle aux matières telles que le vinyle ou le cuir. Très plébiscité pour les jeux coquins et malgré son allure sexy et excitante, le latex est très souvent difficile à enfiler car très ajusté et peu pratique. C’est pour quoi enfiler une tenue en latex nécessite des précautions à prendre pour que votre tenue soit parfaite pour vous adonner à vos jeux érotiques préférés.

Enfiler des vêtements en latex peut être difficile car vous pouvez déchirer ou étirer le matériau. Si votre tenue en latex est portée correctement c’est comme si vous portez une seconde peau.

Précautions à prendre avant d’enfiler votre tenue de jeux !

Avant de vouloir enfiler votre tenue en latex, il vous faudra suivre certaines précautions pour un bon usage de celle-ci. Le latex est une matière qui colle car vous transpirez très vite à l’intérieur et qui, mal enfilée peut devenir un inconvénient et une gêne. Vos jeux érotiques deviendront alors très vite un cauchemar.

La première chose à faire est d’appliquer du lubrifiant ou de l’huile de silicone sur votre peau et à l’intérieur de votre tenue en latex. Vous pouvez également choisir d’appliquer une quantité généreuse de talc à l’intérieur de votre vêtement en latex.

Le talc comme le lubrifiant ont leurs avantages et leurs inconvénients

D’une part, le talc est moins cher que le lubrifiant et permet de retarder la transpiration mais il laissera des grumeaux après chaque utilisation. Vous devrez donc à chaque utilisation remettre du talc à l’intérieur de votre tenue. Quant au lubrifiant, il est plus onéreux que le talc et génère moins de friction à effectuer sur votre corps. Son utilisation facilitera l’enfilage de votre vêtement en latex.

Place à l’habillage de votre tenue !

Vous vous demandez certainement mais comment enfiler ma tenue en latex ? Patience, voici la réponse. Évidemment avant l’enfilage, il faut bien que votre corps soit lubrifié ou imbibé de talc pour en faciliter l’habillage. Donc, tout d’abord avant de commencer à vouloir enfiler votre tenue en latex, retirer tous les bijoux qui peuvent l’endommager. Attention également à vos ongles s’ils sont longs car ils peuvent déchirer le latex.

Enfiler une tenue en latex c’est comme enfiler des bas Mesdames ! Pour celles qui ont l’habitude de porter des bas ce sera un jeu d’enfant ! Pour les autres, déroulez la matière délicatement avec vos deux mains, en remontant du pied à la jambe. Puis relâchez la matière lentement lorsque vous tirez sur celle-ci.

Si vous souhaitez ajuster votre tenue en latex, ne tirer jamais dessus avec vos mains. Afin de l’ajuster convenablement, il vaut mieux l’étirer délicatement ou la pousser avec la paume de votre main.

Et pour finir gardez tout de même à l’esprit qu’avant de ranger votre tenue en latex, elle doit être complètement sèche afin que vous puissiez profiter d’autres jeux érotiques.

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L’homme a toujours été le mâle dominant dans le couple depuis des siècles. Mais on remarque de nos jours une émancipation du côté de la femme même au niveau du sexe, ce qui ressort, en ce moment la notion du couple « dominant/dominé ». Dans cet article, nous allons définir ces concepts traduire l’atmosphère qui règne dans ce genre de relation.

Il faut tout d’abord soulever que dans ce genre de couple, il y a une dépendance réciproque, surtout dans le cas du dominé. Le dominant aussi développe une sorte de dépendance compte tenu du pouvoir qu’il exerce sur le dominé. Au lieu d’évoquer le concept dominé/dominant, parler d’un ménage où la dépendance et l’attirance sont les maitres mots de la relation serait beaucoup plus judicieux. Ces deux êtres a priori opposés dans ce concept sont en fait beaucoup plus complémentaires que l’on pourrait le penser.

La posture de dominant

C’est lui qui a le contrôle. Même si cette posture traduit la position du maître ça n’en est pas moins une peur. Ainsi cette position peut souvent laisser transparaitre un désir de se défendre contre la peur de perdre son partenaire, ou contre la peur de finir soumis à son tour. Avoir une personne sous son contrôle permet d’une façon illusoire de s’en protéger. Critiquer l’autre, ou le faire se sentir perpétuellement en faute, masque l’insécurité et la peur fondamentales du dominant.

Le dominé

C’est l’être soumis. Il s’en remet à son partenaire corps et âme. Cette posture lui procure un sentiment de protection, lui permet de se sentir guidé, tenu, ou encore pris en charge. Mais, dans ce genre de couple, les choses sont plus compliquées. Le dominé souvent docile vit sous une sorte de domination. Dans cette docilité pour le moins apparente, on peut entrevoir l’emprise du dominant sur le dominé, qui ne peut se révolter ouvertement contre son partenaire qui pense avoir un contrôle total sur lui. Dans ce cas, c’est le dominé qui mène la danse tout en faisant croire à l’autre qu’il détient le pouvoir.

La relation de couple dominant/dominé

Laisser quelqu’un avoir une emprise sur soi peut être très dangereux. Comme par exemple, un homme en apparence dominante, mais qui est en réalité sous la domination d’une épouse malicieuse qui agit dans l’ombre, et qui en réalité, « porte la culotte » ou encore une femme violemment battue par son mari, mais qui refuse de l’admettre. Aujourd’hui, la domination, qu’elle soit sociale ou conjugale, est remise en question à cause du gène dominant qui existe d’autant chez le masculin que le féminin. Pour pallier à ce problème, les deux partenaires réagissent différemment.

Le dominant aura tendance à prendre les choses en main. Il sera donc l’initiateur des rendez-vous chez les conseillers conjugaux. C’est l’une des solutions pour mieux assujettir son partenaire ou lui prouver qu’il a tort. Alors si la thérapie ne marche pas, la dominée aura tendance à s’évader son dans son travail, dans une relation ou d’autres vices.

Au contraire le partenaire, peu importe son sexe, peut vite se sentir étouffé, dominé par l’autre, viendra seul aux consultations, en quête d’aide pour rompre. Dans ces cas, l’emprise du dominé peut prendre diverses formes, dont la forme la plus commune qu’est la violence conjugale. Cette initiative de consultation solitaire est pour les dominés, une première initiative d’évasion. Mais il leur faudra du temps pour guérir et se reconstruire. Hormis ces cas où la violence conjugale peut survenir, la vie en couple peut suivre son train si les partenaires restent à l’écoute l’un de l’autre et essaient de se comprendre.

 Le dominé pourrait exceller dans cet exercice puisque c’est lui qui endosse le mauvais rôle

Il pourrait être celui qui a le plus envie de savoir pourquoi les choses sont comme elles sont. Cet exercice est beaucoup plus difficile pour le dominant qui a toujours été en position de force. Il se verra affronter ses propres peurs. Pour lui, le maintien de la relation réside dans le maintien de l’emprise. Affirmer haut et fort son pouvoir légitime lui permet d’avoir une main mise sur leur vie et il n’accepterait en aucun cas de remettre en cause ce fait. C’est pourtant la seule alternative pour que le couple puisse se réinventer.

Dans le couple dominant/dominé, les rôles peuvent facilement s’inverser, soit du côté de la femme ou du côté de l’homme. Une fois que chacun donne à l’autre la place qu’il mérite, en reconnaissant sa valeur et en prenant garde à ne pas heurter ses sentiments, chacun devrait trouver son compte et les choses devraient bien se dérouler dans cette vie de couple. Dans le cas contraire, où l’on remarque des violences ou de la manipulation cela devient abusif. Pour ce faire, vous pouvez toujours demander de l’aide comme des consultations conjugales ou encore la police dans les cas extrêmes.

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Quels sont les moments les plus excitants que vous avez vécus avec votre conjoint ? Si vous n’avez pas des idées, essayez donc un week-end en pleine nature où vous ferez des galipettes avec votre conjoint sous les étoiles. Dans une maison abandonnée, une voiture, une tente, dans des cabines de camping, dans le camping-car, dans une piscine, dans un lit, dans un lieu public, un canapé, sur votre lieu de travail, à la plage… Autant de lieux pour se faire plaisir et pimenter votre vie sexuelle. Je m’en vais donc vous raconter, mon vécu insolite de comment j’ai eu un cunnilingus des plus jouissifs.

Autant vous prévenir qu’avant ce fameux week-end, je n’avais jamais eu la chance de faire des explorations en plein air, le cul sur la berge d’un étang, avec des bruits retentissant au loin dans la forêt.

Partir camper un week-end dans la nature : Personnellement, je suis du genre à aimer le confort. Mais je suis assez ouverte d’esprit pour expérimenter d’autres choses. Alors que je commençais à me sentir un peu à l’étroit dans ma relation avec mon partenaire, il y a quelques jours, la Julie en couple depuis peu que je suis a décidé de lui proposer une petite virée dans la nature en fin de semaine. Alors au programme : marche, forêt, dormir en tente, manger et se manger.

Le départ

Nous avons choisi notre lieu sacré ou nous allions tourner nos scènes avec nos outils prêts à l’emploi dans le sac. L’endroit est situé à quelques kilomètres de Paris. Quelques minutes, après que nous soyons arrivés dans un parc naturel splendide, Jules l’aventurier a décidé de me faire marcher après avoir copieusement déjeuné. L’objectif ultime de cette marche était surtout de trouver un endroit calme et éloigné près d’un point d’eau où on pourrait tourner notre film érotique en paix. Après quelques heures de marche qui m’ont semblé une éternité et beaucoup de rires, nous avons trouvé le coin idéal. Un petit étang dont la berge était occupée par des vaches. Après avoir déplacé la voiture, nous nous attardons à installer notre tente ou plutôt notre nid d’amour. Une fois la tente posée, nous voilà près à prendre le dîner assis au bord de l’étang. Apéro, musique, caresses et de longues discussions ont suivi sous le coucher du soleil.

Passons à l’action

Alors que le soleil se couchait, mon attention se focalisait de moins en moins sur les bestioles qui couraient dans tous les sens autour de nous. Et puis jules, la lampe et son pénis en main, face à l’étang et lèves les yeux vers le ciel, et s’écriait : « C’est magnifique, la vue du ciel avec toutes ces Étoiles ! ». Nous avons sur cette exclamation, décidé de nous installer au bord de l’étang afin d’admirer tous les deux ce magnifique spectacle céleste. Nous nous sommes allongés sur le sol, lui en t-shirt, accompagné de sa bouteille de bière, moi dans mon gros pull avec un jean sur mon épaule.

Il y a longtemps, que lui comme moi n’avions pu admirer un ciel aussi dégagé. Les étoiles filantes se suivaient les unes et les autres et à chaque passage, j’espérais discrètement que cet instant parfait soit le premier d’une longue lignée.

Un cunnilingus orgasmique

Dans cette fraîcheur et ce noir, avec pour spectateur les bestioles qui nous entouraient, mon envie de faire une fellation à Jules, devient plus que pressante. Après un bref moment à s’embrasser, je me retrouvai entre ses jambes. Puis quelques instants plus tard, il m’a invitée à m’allonger, il m’a ensuite enlevé mon jeans, et on a commencé à faire l’amour. J’étais contente de ses coups de reins doux, mais bien sentis. Il m’a alors glissé des mots à l’oreille : « Regarde comme le ciel est beau, tu l’es encore plus ». Ensuite, Jules descendait doucement entre mes cuisses, et m’embrasser l’entrecuisse. Ce n’était pas sans me déplaire. Le silence qui régnait dans ce noir et ce ciel si immense, était tel que mes cris de plaisir s’étalaient le long de l’étang et fendait la nuit. Rapidement, j’ai commencé à frissonner jusqu’à ce qu’un orgasme saisisse tout mon corps. À l’arrivée de l’apogée de mon plaisir, le contact de la bouche de Jules ne s’arrête pas là : c’est une multitude de feux d’artifice qui explosaient en moi. Pendant que mon être frémissait, mon cerveau se rendait compte de la beauté du moment que je traversais. Puis une fois que tout s’est achevé, Jules m’a recouvert d’une couette, et s’est installé près de moi et a continué de profiter de ce silence désormais revenu…

Si vous faite partis de ceux qui hésites encore à expérimenter de nouvelles choses ou manquez juste d’idées, alors prenez exemple sur moi et foncer sans réfléchir. Vous allez sans doute passer un moment inoubliable.

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L’être humain fait l’amour soit pour son plaisir soit pour féconder. Mais il arrive qu’il devienne accro, c’est-à-dire développe une addiction au sexe. L’hypersexualité concernerait entre 3 % et 6 % de la population, surtout les hommes. C’est quoi un addict au sexe ? Comment on devient addict ?

Tout d’abord être addict, c’est être accro à quelque chose au point de ne pouvoir s’en passer. L’addiction est perçue comme une maladie et est vraiment prise au sérieux. On peut être addict à plusieurs choses comme la nourriture, la drogue, ou encore le sexe. Ceux qui ont une addiction au sexe sont appelés obsédés sexuels, ou encore sex addicts. C’est un peu plus chic. Les psychiatres le nomment plutôt le donjuanisme : qui se manifeste par l’envie incessante de séduire et d’avoir des relations sexuelles avec le plus de femmes possibles sans en tirer satisfaction. Les médecins prennent très au sérieux la toxicomanie sans substance. Mais les spécialistes ne se comprennent pas sur sa définition : l’activité sexuelle est chez l’espèce humaine un besoin primaire, au même titre que celui de se nourrir. Dans ces cas, comment définir le « trop de sexe»?

Une pathologie très populaire

Les études sur la sexualité et ses perturbations par les médecins et psychiatres ne datent pas d’aujourd’hui. Mais ce n’est qu’en 1948 que le premier rapport sur la sexualité masculine parait. Il était destiné à cerner le problème de l’hypersexualité: le Dr Kinsey rapporte que : « Sur une population de 5 000 hommes interrogés, 7,6 % déclarent un orgasme quotidien pendant une période de cinq années consécutives ». Par la suite, les spécialistes de l’addiction élucideront la silhouette de ce que l’on pourrait qualifier de pathologie de perte de contrôle : taux élevé, croissant et non contrôlé d’une activité sexuelle, avec des inconvénients pour l’individu et les personnes qui le côtoient.

Florence Thibaut, professeur en psychiatrie et chercheuse à l’INSERM, donne son avis en disant « Les individus piégés par leur addiction sont souvent dans le déni. Pour eux, tout cela est normal, naturel ». Ils prétendent qu’il est difficile d’évaluer avec justesse, le nombre de personnes qui souffrent d’une dépendance sexuelle dans la société : « Si les pratiques d’aujourd’hui se veulent plus libérées que celle des générations précédentes, parler en toute liberté de nos comportements sexuels, sans honte ni forfanterie, n’est pas si facile. D’autant que les individus piégés par leur addiction sont très souvent dans le déni. Pour eux, tout cela est normal, naturel ». Spécialiste en la matière, Florence Thibaut, professeur en psychiatrie et chercheuse à l’INSERM, nous présente néanmoins quelques chiffres: « Les comportements hypersexuels concerneraient de 3 à 6 % de la population sexuellement active, et pour une large majorité des hommes (à 80 %) ».

Dépendance au cybersexe

Que ça soit l’excès au sentiment amoureux ou à l’acte sexuel, les comportements humains sont très diversifiés. Par opposition à ce qu’on a toujours pensé, être addict au sexe ne veut pas toujours dire que l’on développe une sorte de paraphilie, c’est-à-dire une certaine déviance sexuelle (pédophilie, zoophilie, agresseurs sexuels). Il s’agit plutôt ici d’une situation qui se manifeste et qui échappe totalement à l’emprise du sujet concerné. La masturbation compulsive allant jusqu’à une dizaine de fois par jour, avec un risque élevé et permanent d’infliger des dégâts aux organes génitaux et celui de ne pas pouvoir refréner son envie en public en sont des exemples palpables. L’addiction sexuelle est d’autant plus un problème qu’elle s’accompagne souvent d’autres vices, comme l’alcoolisme, l’addiction aux drogues telles que la cocaïne, qui décuplent les sensations ressenties lors de vos moments de plaisir.

L’internet est un nouvel outil pour les addictions sexuelles

Consommation illimitée de pornographie en ligne, nuit et jour passés sur des forums. Selon Florence Thibaut, environ 10% des hommes seraient concernés par les usagers masculins d’internet. C’est cette addiction aux contenus diffusés sur nos écrans qui a paradoxalement induit la création de services hospitaliers spécialisés dans le traitement des dépendances sexuelles. Il existe par exemple en France dans la ville de Paris, un centre nommé Marmottan, expert dans le traitement des cyberdépendances sexuelles. L’addiction se manifeste sous plusieurs formes. Lorsqu’on constate une dépendance nous-mêmes on doit alors consulter un psychiatre pour se rassurer.

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Encore appelées pinces à mamelons, les pinces à tétons sont un classique des relations sadomasochistes. Si pour certains les pinces à tétons sont un symbole par excellence de dépravation, pour d’autres les pinces à tétons sont un outil des plus fascinants pour ressentir du plaisir. Cependant, bien qu’elles soient très utiles pour pimenter vos relations ou pour assouvir vos fantasmes BDSM, il est essentiel de bien choisir sa pince à tétons afin d’obtenir l’outil qui vous convient le mieux. Plusieurs facteurs sont à prendre en compte lors du choix de votre pince à tétons, les sensations variant d’un modèle à l’autre ou selon la qualité du jouet.

Nous vous proposons ici quelques astuces pour bien choisir votre pince à tétons et découvrir l’outil qui décuplera vos sensations.

Pince à tétons : qu’est-ce que c’est??

La pince à tétons est un accessoire sexuel utilisé pour stimuler les tétons en appliquant une dont l’intensité peut varier. La stimulation provoquée par la pince à tétons est due au blocage ou à la restriction de la circulation du sang dans les tétons. Les tétons étant une partie très érogène et très sensible chez tout être humain qu’il soit un homme ou une femme, le pincement que provoque l’accessoire érotique procure des sensations mixant douleur et plaisir.

La pince à tétons est souvent utilisée lors des rapports BDSM, par les hommes comme par les femmes. Il est également par des personnes désirant pimenter leur vie sexuelle ou sortir de leur routine sexuelle quotidienne.

Les différents modèles de pinces à tétons

Il existe différents modèles de pinces à tétons, chacune possédant ses propres caractéristiques et ses particularités. Pour faire le choix idéal lors de l’achat de votre pince à tétons, il est essentiel de connaitre les modèles de pinces à tétons disponibles, et leurs particularités.

– La pince à tétons avec embout recouvert de plastique : ce modèle est idéal pour les débutants, car il permet de réduire la pression exercée sur les seins, et par conséquent d’atténuer la douleur?;

– La pince à tétons avec molette réglable : ce modèle est également recommandé pour les débutants, car il dispose d’une molette permettant de réguler l’intensité du pincement et de la douleur. Il est également possible de trouver sur le marché des pinces à tétons avec molette réglable et disposant d’embouts recouverts de plastique :

– La pince à tétons avec poids : ce modèle de pinces dispose de poids qui permettent d’augmenter l’intensité du pincement, et ainsi d’amplifier les sensations ressenties. De plus, les poids bougent à chaque mouvement, ce qui intensifie encore plus les sensations?;

– La pince à tétons vibrante : ce modèle dispose d’un petit moteur qui lui permet d’émettre des vibrations, et d’amplifier les sensations ressenties?;

– Les pinces à tétons avec chainettes : ces pinces sont souvent utilisées pour stimuler les deux tétons en même temps ou pour relier, selon votre convenance, les pinces à un autre accessoire?;

– Les pinces à tétons avec cockring : ce modèle dispose d’un cockring qui est relié aux pinces par une chaine. La particularité de ces pinces réside dans la pression exercée sur les mamelons qui résulte de la masturbation du pénis?;

– Les pinces à tétons avec embouts dentés : ces pinces disposent d’embouts dentés qui permettent d’amplifier la douleur?;

– Les pinces bijoux : ce sont des modèles fabriqués avec des matériaux nobles comme le bronze?;

– Les pinces à tétons forceps : très appréciés par les expérimentés, ces pinces peuvent s’accrocher partout, et se bloquer dans diverses positions.

Choisir sa pince à tétons

Lors du choix de sa pince à tétons, plusieurs facteurs sont à prendre en compte pour obtenir l’accessoire érotique qui vous convient le mieux. Nous avons entre autres :

– L’aspect visuel de l’accessoire : l’esthétique est un facteur très important pour nombre de personnes. Lors du choix de votre pince à tétons, il est donc essentiel de choisir une pince dont l’aspect visuel vous attire?;

– La force de pinçage de la pince : ce paramètre essentiel définit l’intensité de la douleur infligée par la pince. Il est donc essentiel d’y accorder une attention particulière pour obtenir une pince qui convient à vos capacités et à vos fantasmes?;

– La facilité de pose et de retrait : cet aspect est particulièrement important pour les personnes désirant expérimenter différentes positions.

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Historique

L’utilisation du fouet est une pratique qui date de plusieurs siècles. En effet, des civilisations passées, depuis l’antiquité adorait déjà le fouet. Il était utilisé à plusieurs fins. Lors des fêtes d’Iris av. J.-C. et des rituels des prêtresses de la cité de Milet, la flagellation était un élément phare.

Les Romains et les Grecs faisaient aussi des rituels du fouet depuis lors, au cours des fêtes orgiaques. Mais ailleurs, le fouet était considéré comme la solution pour traiter l’impuissance. Ensuite, ce sont les maisons closes qui ont pris le relai pour faire la promotion de cet héritage. Vers la fin du XIXe siècle, on enregistre un nombre considérable d’ouvrages littéraires faisant l’éloge du fouet.

A présent, le fouet est devenu un outil présent dans tous les domaines de divertissement, le cinéma, la littérature et les fantasmes. Il en existe de plusieurs types et chacun a son domaine d’utilisation.

Les variétés de fouets

Les fouets sont appréciés à leur poids, leur taille, la nature des lanières et leur forme. Les effets qu’elles offrent varient en fonction de ces éléments. Il faut donc faire un choix judicieux du fouet qui nous conviendra. Nous pouvons classer les fouets en deux catégories : les fouets à une lanière qui sont les plus dangereux et les fouets à plusieurs lanières qui sont idéales pour les débutants.

Les fouets avec de multiples lanières

Lorsque vous débuter avec l’utilisation d’un fouet, la moindre des choses est de vous entrainer légèrement. Avec un fouet à plusieurs lanières, c’est plus facile. Il est doté d’un manche rigide et les différentes lanières débouchent du manche. Les fouets à plusieurs lanières sont des martinets ou des chats à neuf queues. Il est préférable qu’il soit en cuir.

Le fouet single tail à une seule lanière

Le fouet à une seule lanière est constitué de quatre parties à savoir : la poignée, le corps, la queue et le cracker. Il existe plusieurs formes de fouets à une lanière. Le bullwhips, le snakewhip, le shockwhip sont trois variétés dont l’utilisation à l’intérieur est impossible. Par contre le signalwhip est plus recommandé et utilisé en BDSM. On distingue aussi le sjumbock et le dog quirt.

Mais, quel que soit le fouet que vous décidez de prendre, il faut toujours bien s’entrainer pour éviter tout risque d’accident.

Utilité du fouet

Les fouets sont souvent assimilés à des scènes de violence corporelle avec beaucoup de douleurs et de tortures, mais également à des pratiques de BDSM. Loin de là, l’utilisation du fouet ne se limite pas à ces fins. En effet, que ce soit dans la religion, la médecine, le travail, la punition ou les activités sexuelles, le fouet a joué un rôle très important.

Quelles parties du corps fouettées

Il faut bien s’entrainer pour manier un fouet. Aussi faut-il savoir où envoyer ses coups de fouet. Les parties essentielles du corps qu’il faut éviter sont les pieds, les mains, la tête, les jointures, les zones qui n’ont pas fini de cicatriser, les petits os, la zone entre le bas des côtes de la colonne vertébrale et le bassin. Avec un single tail, il vaut mieux éviter d’infliger à la même partie une même décharge plusieurs fois.

Le fouetteur non plus n’est pas épargné lors du maniement. Il faut donc faire très attention et rester concentré. L’entretien de votre fouet est essentiel pour des règles d’hygiène.

En conclusion, le fouet est à la fois plein de jouissance, mais également à hauts risques. Il faut donc le manipuler avec soin et prioriser la sécurité et la qualité pour une utilisation durable.

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L’éjaculation faciale est une pratique sexuelle qui consiste à expulser sa semence sur le visage d’une autre personne. Cela pourrait être le visage de l’un ou l’autre des conjoints : l’homme ou la femme. Je suis souvent surpris de remarquer que seul l’éjaculation sur le visage des femmes intervient dans les discussions.

Assimilée à l’univers du porno, cette pratique était perçue comme la domination de l’homme sur la femme qui serait humiliée. Je ne suis pas tellement de cet avis. Mais auparavant, c’était le meilleur moyen pour les promoteurs de films pornographiques de présenter à leur public la semence des acteurs et démontrer la véracité des actions. Désormais, l’éjaculation faciale est devenue une pièce maîtresse des films porno.

Comment vous initier à cette pratique ?

La première des choses pour faciliter l’initiation, est la discussion. Il faut installer une certaine complicité et un accord commun.

Ensuite, il faut trouver le moyen de se relâcher et d’être dans le feu de l’action. En effet, vous êtes sur le point de vous adonner à une aventure pleine de jouissance.

Entendez-vous sur la position qui vous permettra d’être confortable tous les deux et de ressentir le plaisir à son comble. Vous pouvez opter pour le faire à genoux, ou de le faire allonger.

Pour une première fois, prévoyez de quoi vous nettoyer pour qu’au cas où vous supporteriez difficilement la semence sur le visage. Par contre, éviter le contact avec les yeux, ça peut faire très mal.

Enfin, laissez-vous emporter par le plaisir et prenez votre pied.

Les raisons de mon addiction à l’éjaculation faciale

Personnellement, j’aime tendre mon visage à mon partenaire pour qu’il l’asperge de son sperme. C’est si beau et très existant comme sensation. C’est comme un présenter une feuille vierge toute blanche afin qu’il débute son histoire dessus. Je ne partage pas du tout l’avis selon lequel elle est supposée humiliante. Au contraire, moi déjà je m’adonnais souvent à la bifle et le contact entre la verge et mon visage était très jouissant.

Ma petite expérience avec l’éjaculation faciale

C’est alors que je me retrouve à genoux devant mon partenaire, prête à l’accueillir sur moi. Je contemple son corps admirable et sa peau qui frissonne. Les yeux fermés, je sentais la vie couler en lui, je prévoyais le parcours de son sperme qui finira sur mon visage.

Sa verge bien tendue laisse découvrir une vallée aux reflets rouges. Elle est prête à être avalée. L’odeur de sa nudité me rend folle et mon envie monte progressivement. Il respire profondément et son corps semble m’adresser des mots malgré son silence.

Je le fixai dans les yeux pour lire à travers son regard. Je saisis sa queue et l’empoigne sérieusement. Puis je lui fais faire des allers-retours dans son propre. L’intensité de la masturbation que je lui faisais suivait une allure croissante. Dans cette posture, je tiens les rênes de son plaisir. Il se laisse aller et je continue la branlette avec plus d’ardeur. Je me sens inspiré et je caresse son gland avec ma langue. J’entends de petits gémissements et je suis persuadé que je suis aux commandes.

Je joue avec ses testicules tout en avalant sa bite un moment puis je permets à sa queue d’explorer délicatement mon visage. Je crois que c’est le moment, j’apporte une touche finale à mon art masturbatoire. Il vient enfin, son sperme légèrement brulant qu’il m’éclabousse au visage. Je garde les yeux fermés afin de ressentir tout le plaisir qui en découle. Je fais un petit nettoyage avec ma langue avant de m’étaler près de lui pour d’autres horizons.

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Agée de 32 ans, Alice est une femme qui aime les hommes et vit un bonheur avec son partenaire avec qui elle compte 7 années de relation. Pour augmenter son envie quand elle se donne du plaisir, elle suit des films pornographiques de lesbiennes.

Les femmes sont férues de pornographie et la pratique est davantage reconnue. Les statistiques de l’an 2018, du réputé site de porno, Pornhub, font état de ce que la gente féminine représente le quart de ses visiteurs.

 » Je me rappelle d’un film érotique diffusé sur M6 un dimanche soir « 

Du haut de mes 18 ans et vivant dans le domicile parental, j’étais embarrassée après avoir suivi ce film sur M6 durant un moment. Me faire prendre par les parents ne m’inquiétait pas plus que le remords inexplicable que j’en ai éprouvé. Les images provocantes m’ont tout de même donné des envies et je me sentais sevrée de ne pouvoir prolonger ce moment pour assouvir ma curiosité et mon envie. Au final, je me suis retirée dans ma chambre pour me masturber, ce qui était une habitude pour moi.

 » Je stimule mon imagination et m’abstiens pour une suite succulente « 

J’ai véritablement connu la pornographie pendant mon célibat. Je ne me souviens plus des circonstances, mais très vite, je parcourais régulièrement les sites pornographiques à la recherche de petites vidéos pornos. Avant de me masturber, j’adorais suivre du porno en m’abstenant de toute caresse afin d’augmenter mon envie. Je me délectais des émotions que cela provoquait en moi avant de commencer à me toucher. Une habitude qui pourrait avoir un lien avec la tentative qui a suivi le film érotique sur M6.

L’envie s’estompe rapidement et il m’est plus aisé d’avoir un orgasme lorsque je commence à me caresser après une bonne vidéo pornographique. Même quand j’y vais lentement, je ne résiste pas à l’envie d’accélérer le rythme et de poursuivre jusqu’à la fin, en utilisant mes doigts ou mon sextoy.

« Je m’imaginais dans le rôle de l’actrice, celle qu’on caresse »

En prenant l’habitude de suivre fréquemment du porno, je me suis rendu compte qu’à côté d’une verge, la silhouette et tout ce qui a rapport aux femmes me donnaient davantage envie. J’éprouve une sensation réfléchie devant chaque porno que je regarde : j’ai l’impression d’éprouver les mêmes choses que l’actrice et de partager son expérience.

Mon centre d’intérêt, c’est mon corps que je contemple, ce qui a le chic d’approfondir mon imaginaire, au-delà de mes films personnels. Je me laisse aller au feeling, à l’envie et à mes désirs. J’aime juste m’imaginer «être dedans ». Cette habitude m’a conduite sur le terrain des films pornos lesbiens que je préférais alors à ceux hétéros. Étant donné que seules les femmes m’attiraient maintenant, je suis passée à une autre gamme de rêveries.

« Le miroir en est parfois témoin ».

Les caresses de deux femmes qui se donnent du plaisir me donnent énormément envie. Je m’imagine toujours être celle qu’on touche même s’il m’arrive maintenant de penser être celle qui procure le plaisir.

J’adore cette double vision du corps de la femme pleine d’envies sexuelles. À partir de ma prise de conscience de cette tendance aux pornos lesbiens, mes moments de masturbation ne sont plus uniquement la nuit et le miroir en est parfois témoin.

« Je suis toujours dans cette position de novice qui offre son corps »

Je suis hétéro et je n’ai jamais eu de partie de jambes en l’air avec une femme. Je ne pense pas le désirer. L’idée obsessionnelle de le faire a germé en moi depuis quelques années et je n’éprouve pas l’envie de la réaliser. Lorsque je remarque des femmes les soirs où je suis bourrée, je me fais des films dans lesquels je suis celle qui reçoit les caresses et jouit. J’aime la posture de la nouvelle qui se donne et profite d’émotions exclusives. Je m’éprouve pas la même envie de découvrir, d’enfreindre la loi lorsque je regarde un homme bien que je sois consciente que l’homosexualité n’est en rien interdite. C’est juste la réalité du fantasme qui renferme en lui-même un mystère qui fait penser à une transgression qui donnerait un goût d’exploit à a routine sexuelle.

« J’ai une double sexualité »

J’ai une relation vieille de 7ans avec un homme avec lequel j’éprouve du plaisir sexuel. On visionne parfois des films pornographiques à deux et je lui ai proposé de faire un plan cul avec deux autres femmes sans lui révéler que c’était une envie personnelle. Je m’évertue à croire à cette supposée excitation des hommes face aux lesbiennes. Ce qui n’est pas le cas de mon homme. Nous nous sommes entendus pour des parties à trois qui nous donnent du plaisir et qui, je suppose, lui permettent d’être dans le rôle de celui qui offre et reçoit du plaisir. C’est ce que je me dis.

De toutes les façons, ça ‘importe peu qu’il ait le même fantasme que moi et ces temps de plaisir seul me sont très chers et je m’y adonne à cœur joie lorsque mon homme est absent de la maison. Ma double sexualité est ma normalité et je ne les mélange pas. Les moments dans l’une d’elles excluent toute idée de l’autre. Tout ceci me conforme dans l’idée qu’il n’y a rien d’anormal et de déplacé au fait de se masturber bien qu’étant en relation hétéro. Bien qu’évidemment, j’ai une préférence pour les pornos lesbiens.

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Contrairement à ce qu’on peut penser, les adeptes du cuir et des harnais, ceux qui en font un fétichisme, ne sont pas tous des personnes âgées. Il y en a de tous les âges. Certains racontent comment ils sont tombés dans cette pratique.

Le public fétichiste du cuir

Agés entre 25 et 45 ans, ils se retrouvent souvent dans des sortes de bars-boites à l’ambiance survoltée. Des soirées spéciales sont organisés dans ses bars pour élire par exemple à l’issue de compétitions, le Mister Leather France Le public, tout aussi adepte, arbore de nombreux accessoires ayant trait au thème de la soirée ; des gants, des uniformes de motards, des harnais, ou encore des jambières. De nombreuses soirées sont donc organisées régulièrement en France, en l’honneur des amoureux du cuir.

Certains, dont un architecte Normand nommé David et âgé de 40 ans, trouve en cette passion pour le cuir, un esthétisme, une élaboration d’un personnage, une mise en scène de soi-même. D’un autre côté, il affirme, aimer le coté tactile du cuir, son odeur et les crissements de la matière surtout lorsque celui qui la porte transpire. La sensation tactile de la matière, ne semble pas déplaire à Nathan, âgé de 26 ans et travaillant dans le domaine associatif. Celui-ci affirme qu’à part porter du cuir, il était naturellement très excité par les hommes qui en portaient. Bien qu’il ne soit plus connecté au milieu du cuir depuis qu’il s’est mis en couple, il ne rate pas une occasion d’arborer sa veste en cuir préférée pour les sorties importantes.

Les débuts du fantasme

Ils sont nombreux à ne pas pouvoir se rappeler des origines d’un fantasme qui selon eux donne l’impression d’avoir toujours été en eux. Ils situent vaguement l’origine du fantasme et l’attribuent à une expérience sexuelle, ou à un premier film porno visionné. David par exemple se rappelle de sa première fois sur une aire d’autoroute avec un motard sur le tronçon Rouen-Paris. Ayant toujours eu un certain fantasme pour les motards, il avait ce jour, suivi le motard en question dans les toilettes.

Pour de nombreux fanatiques du cuir, ce fétichisme pour le cuir trouve son origine profonde dans leur enfance. En effet ils sont nombreux à avoir eu ce déclic en étant enfant, ou en faisant de la moto. Vincent, âgé de 34 ans, affirme d’ailleurs qu’il trouvait les hommes qui mettaient du cuir sexy lorsqu’il était enfant.

Certains étant tombés dans la marmite en étant plus jeunes, le cuir pour eux est plutôt un style de vie qu’un vulgaire fantasme. Hugues Fischer en est le parfait exemple. C’est un leader assez connu de la communauté du cuir, dont le père travaillait pour une usine de fabrication de godasses, de rangers et de chaussures de bucheron. Ill affirme toujours avoir dans sa poche un lacet en cuir, dont l’odeur lui remémore ses premières sensations érotiques lorsqu’il était enfant. Il découvrit également le bondage, en jouant à attacher ses amis scouts en étant enfant.

La Jeunesse actuelle

On se rend compte de plus en plus que les jeunes manquent à l’appel lors des manifestations gay. À la soirée Mister Leather France par exemple, ceux qui défilaient avaient en moyenne la quarantaine. Nathan attribue le vieillissement du milieu, en partie aux années de sida et au fait que les jeunes homosexuels considèrent les réjouissances et les rassemblements gays comme étant dépassés. On peut comprendre en quelque sorte cette désertion des jeunes puisque selon Vincent, le cuir aujourd’hui coute cher et demande un investissement non négligeable.

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