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Je suis hétéro et j’adore les pornos lesbiens

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Agée de 32 ans, Alice est une femme qui aime les hommes et vit un bonheur avec son partenaire avec qui elle compte 7 années de relation. Pour augmenter son envie quand elle se donne du plaisir, elle suit des films pornographiques de lesbiennes.

Les femmes sont férues de pornographie et la pratique est davantage reconnue. Les statistiques de l’an 2018, du réputé site de porno, Pornhub, font état de ce que la gente féminine représente le quart de ses visiteurs.

 » Je me rappelle d’un film érotique diffusé sur M6 un dimanche soir « 

Du haut de mes 18 ans et vivant dans le domicile parental, j’étais embarrassée après avoir suivi ce film sur M6 durant un moment. Me faire prendre par les parents ne m’inquiétait pas plus que le remords inexplicable que j’en ai éprouvé. Les images provocantes m’ont tout de même donné des envies et je me sentais sevrée de ne pouvoir prolonger ce moment pour assouvir ma curiosité et mon envie. Au final, je me suis retirée dans ma chambre pour me masturber, ce qui était une habitude pour moi.

 » Je stimule mon imagination et m’abstiens pour une suite succulente « 

J’ai véritablement connu la pornographie pendant mon célibat. Je ne me souviens plus des circonstances, mais très vite, je parcourais régulièrement les sites pornographiques à la recherche de petites vidéos pornos. Avant de me masturber, j’adorais suivre du porno en m’abstenant de toute caresse afin d’augmenter mon envie. Je me délectais des émotions que cela provoquait en moi avant de commencer à me toucher. Une habitude qui pourrait avoir un lien avec la tentative qui a suivi le film érotique sur M6.

L’envie s’estompe rapidement et il m’est plus aisé d’avoir un orgasme lorsque je commence à me caresser après une bonne vidéo pornographique. Même quand j’y vais lentement, je ne résiste pas à l’envie d’accélérer le rythme et de poursuivre jusqu’à la fin, en utilisant mes doigts ou mon sextoy.

« Je m’imaginais dans le rôle de l’actrice, celle qu’on caresse »

En prenant l’habitude de suivre fréquemment du porno, je me suis rendu compte qu’à côté d’une verge, la silhouette et tout ce qui a rapport aux femmes me donnaient davantage envie. J’éprouve une sensation réfléchie devant chaque porno que je regarde : j’ai l’impression d’éprouver les mêmes choses que l’actrice et de partager son expérience.

Mon centre d’intérêt, c’est mon corps que je contemple, ce qui a le chic d’approfondir mon imaginaire, au-delà de mes films personnels. Je me laisse aller au feeling, à l’envie et à mes désirs. J’aime juste m’imaginer «être dedans ». Cette habitude m’a conduite sur le terrain des films pornos lesbiens que je préférais alors à ceux hétéros. Étant donné que seules les femmes m’attiraient maintenant, je suis passée à une autre gamme de rêveries.

« Le miroir en est parfois témoin ».

Les caresses de deux femmes qui se donnent du plaisir me donnent énormément envie. Je m’imagine toujours être celle qu’on touche même s’il m’arrive maintenant de penser être celle qui procure le plaisir.

J’adore cette double vision du corps de la femme pleine d’envies sexuelles. À partir de ma prise de conscience de cette tendance aux pornos lesbiens, mes moments de masturbation ne sont plus uniquement la nuit et le miroir en est parfois témoin.

« Je suis toujours dans cette position de novice qui offre son corps »

Je suis hétéro et je n’ai jamais eu de partie de jambes en l’air avec une femme. Je ne pense pas le désirer. L’idée obsessionnelle de le faire a germé en moi depuis quelques années et je n’éprouve pas l’envie de la réaliser. Lorsque je remarque des femmes les soirs où je suis bourrée, je me fais des films dans lesquels je suis celle qui reçoit les caresses et jouit. J’aime la posture de la nouvelle qui se donne et profite d’émotions exclusives. Je m’éprouve pas la même envie de découvrir, d’enfreindre la loi lorsque je regarde un homme bien que je sois consciente que l’homosexualité n’est en rien interdite. C’est juste la réalité du fantasme qui renferme en lui-même un mystère qui fait penser à une transgression qui donnerait un goût d’exploit à a routine sexuelle.

« J’ai une double sexualité »

J’ai une relation vieille de 7ans avec un homme avec lequel j’éprouve du plaisir sexuel. On visionne parfois des films pornographiques à deux et je lui ai proposé de faire un plan cul avec deux autres femmes sans lui révéler que c’était une envie personnelle. Je m’évertue à croire à cette supposée excitation des hommes face aux lesbiennes. Ce qui n’est pas le cas de mon homme. Nous nous sommes entendus pour des parties à trois qui nous donnent du plaisir et qui, je suppose, lui permettent d’être dans le rôle de celui qui offre et reçoit du plaisir. C’est ce que je me dis.

De toutes les façons, ça ‘importe peu qu’il ait le même fantasme que moi et ces temps de plaisir seul me sont très chers et je m’y adonne à cœur joie lorsque mon homme est absent de la maison. Ma double sexualité est ma normalité et je ne les mélange pas. Les moments dans l’une d’elles excluent toute idée de l’autre. Tout ceci me conforme dans l’idée qu’il n’y a rien d’anormal et de déplacé au fait de se masturber bien qu’étant en relation hétéro. Bien qu’évidemment, j’ai une préférence pour les pornos lesbiens.